Pickering Interfaces propose des commutateurs hyperfréquences
Le Britannique a ajouté, à son catalogue, les séries de commutateurs hyperfréquences PXI/PXIe flexibles 40-890 et 42-890, fonctionnant jusqu’à une fréquence de 3 à 110 GHz.
En cette rentrée 2023, le Britannique Pickering Interfaces vient d’ajouter, à son catalogue, les séries de commutateurs hyperfréquences flexibles 40-890 (format PXI) et 42-890 (PXI Express ou PXIe). Avec leur gamme de fréquences maximale de 3 à 110 GHz, les nouveaux commutateurs répondent aux exigences de test des communications terrestres sécurisées radar, satellite et à courte portée, de l’électronique grand public et des infrastructures 5G.
« Les ingénieurs de test peuvent sélectionner et combiner une large gamme de topologies de relais hyperfréquences et de connecteurs sur un seul module, pour répondre exactement aux exigences de leurs applications, tout en réduisant le nombre d’emplacements de châssis (1 à 6 emplacements 3U), et donc les coûts », met en avant Steve Edwards, Switching Product Manager chez Pickering Interfaces.
Les séries 40-890 et 42-890 regroupent 30 modèles se différenciant par l’impédance (50 Ω ou 75 Ω ; options), la configuration (commutateurs de transfert, SPDT, SP4T, SP6T, SP8T, SP10T et SP12T), des ports terminés ou non terminés. Parmi les autres spécifications, citons un temps de fonctionnement de 10 à 20 ms, une perte d’insertion minimale de 0,2 dB à 1 GHz, un ROS minimal de 1,1:1 à 1 GHz, une durée de vie jusqu’à 10 millions d’opérations, etc.
La possibilité de combiner des types de relais permet, par exemple, d’associer deux relais SP6T terminés et un relais SPDT, et, donc, de créer un multiplexeur terminé SP12T à des fréquences dépassant 18 GHz, avec l’ajout de câbles de liaison. Pickering Interfaces propose d’ailleurs une gamme de solutions prédéfinies en standard pour illustrer les possibilités.
Enfin, chaque relais monté sur un module 40-890 ou 42-890 est associé à des Led en face avant pour indiquer le chemin sous tension, ce qui contribue à simplifier significativement le débogage du logiciel d’application de test. Un comptage des relais embarqué permet aussi de surveiller la nombre d’opérations de commutation dans le cadre d’une maintenance prévisionnelle du système de test.