Dix années de présence dans le Top 100 des entreprises les plus innovantes au monde pour Thales
En 2023, Thales fait partie des 7 entreprises et institutions françaises les plus innovantes au monde, d’après le « Clarivate Top 100 Global Innovator ». Au total, 22 entreprises et institutions européennes font partie de ce palmarès de référence mondiale en matière d’innovation, qui prend en compte la quantité mais également la qualité des brevets déposés : leur volume, leur succès et leur influence.
Ce 10e prix récompense la stratégie unique de Thales en matière d’innovation, nourrie par son positionnement dual Civil – Défense, qui l’amène à adresser des systèmes critiques directement liés à la sécurité des personnes, des pays et des infrastructures.
Le fort engagement de Thales en matière d’innovation lui permet de se démarquer : 3000 chercheurs et 30 000 ingénieurs sont impliqués dans la Recherche et le Développement, et 4 milliards d’euros sont investis chaque année dans la R&D dont 1 milliard autofinancé. Le groupe dépose entre 350 et 400 nouveaux brevets chaque année, et détient un total de 20 000 brevets.
Aujourd’hui, plus de 50% des nouveaux brevets sont pris dans des secteurs technologies clés : intelligence artificielle, cybersécurité, « big data », technologies du cloud, équipements de réalité augmentée et technologies quantiques.
« Nous sommes heureux de faire partie encore une fois des quelques entreprises françaises les plus innovantes au monde ! En 2023, Thales va poursuivre ses efforts de recherche, notamment dans les domaines porteurs des capteurs radars et des caméras, des lasers pétawatts et du numérique, qui concerne 45% de nos innovations. Sur ces 45%, 14% sont liées à l’intelligence artificielle et à la donnée, 13% à la cybersécurité, 11% à la connectivité et 3% au cloud. Quant aux technologies quantiques, elles constituent 2% de nos brevets. Cela peut paraître peu mais, en réalité, c’est le signe que nous sommes déjà totalement impliqués dans les technologies du futur », souligne Bernhard Quendt, Directeur technique de Thales.
« A l’heure où les préoccupations climatiques sont de plus en plus prégnantes, Thales dépose de plus en plus de brevets « durables ». C’est une tendance de plus en plus nette. On peut citer, dans le domaine électronique ce qu’on appelle le SWAP (Size, Weight and Power), c’est-à-dire tout ce qui concourt à diminuer la taille, le poids (et donc la consommation d’énergie) : depuis les réseaux de neurones aux architectures neuromorphiques qui participeront aux systèmes de calcul d’après-demain. Architectures sur lesquelles nous avons déjà une quinzaine de familles de brevets. Nous travaillons également beaucoup sur l’écodesign. Cela ne représente qu’une petite part de nos brevets (2%) mais en réalité, de nombreuses innovations concourent à l’efficacité énergétique, soit parce que cette énergie est « rendue » à l’environnement soit parce qu’elle est transformée en davantage de performances à iso-empreinte carbone », ajoute Philippe Keryer, directeur général adjoint en charge de la stratégie, recherche et technologies de Thales.