Laurent Tardif réélu président de la Fieec
Président de la Fédération des industries électriques, électroniques et de communication depuis 2020, Laurent Tardif a été reconduit pour un mandat d’un an.
Les membres du Conseil d’administration de la Fieec (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication), réunis en assemblée générale le 6 juillet dernier, ont reconduit Laurent Tardif au poste de président du syndicat professionnel pour un mandat d’un an.
Laurent Tardif est un habitué des organisations professionnelles, d’abord en tant que président du Sycabel (Syndicat professionnel des fabricants de fils et de câbles électriques et de communication), puis comme président de la Fieec depuis 2020.
Engagé dans le développement de la compétitivité du secteur et des acteurs économiques associés, il est aussi très impliqué dans la promotion des métiers de la filière, notamment à travers le renforcement des liens entre les organismes universitaires et les industries, et en tant que membre actif du Conseil d’administration de CentraleSupélec.
« Je suis très honoré de poursuivre ma mission aux côtés de la filière électrique et électronique dont le rôle est majeur pour les transitions énergétique et numérique, a réagi Laurent Tardif. Je continuerai de défendre avec conviction une industrie française innovante et pourvoyeuse d’emplois, en première ligne pour faire réussir ces transitions. »
Précisons que lors de l’assemblée générale, Stéphane Zenadja, vice-président Développement HPC du groupe Seb, a été nommé vice-président de la branche « biens de consommation durables » de la Fieec.
Pour mémoire, la Fieec rassemble 27 organisations professionnelles des industries dites électro-technologiques et représente une filière élargie de plus de 6500 entreprises dans le domaine de la production, de la distribution et de la mise en œuvre des produits technologiques. La production industrielle du secteur compte près de 300 000 salariés pour un chiffre d’affaires de 76 milliards d’euros, dont 38 % à l’export. Fortement innovantes, ces entreprises industrielles investissent près de 9 % de leur chiffre d’affaires en R&D.