Le groupe franco-italien fait partie des 2% d’entreprises notées « A » par l’organisation environnementale internationale à but non lucratif CDP, pour ses efforts afin de limiter le changement climatique. ST est noté « A- » en ce qui concerne la sécurité de l’eau.
Selon notre confrère ici Touraine, la direction du groupe franco-italien a annoncé en CSE, ce matin, qu’environ un millier d’emplois seraient supprimés dans l’Hexagone d’ici trois ans, dans le cadre de son projet de remodelage de son empreinte industrielle.
Le chiffre d’affaires trimestriel du groupe franco-italien a chuté de 27,3% sur un an et de 24,2% par rapport au trimestre précédent. ST s’attend à un léger rebond séquentiel au deuxième trimestre.
Les représentants du personnel craignent « quelques centaines » de suppressions de postes sur les 1400 que compte le site de Tours, suite aux annonces faites le 10 avril dernier par la direction du groupe franco-italien sur l’avenir de ses sites.
ST a fermement démenti hier les accusations de délit d’initié relayées par la presse transalpine. Le Conseil de surveillance du groupe a, par ailleurs, renouvelé son soutien à Jean-Marc Chéry, suite aux pressions exercées par le gouvernement italien pour qu’il quitte son poste. La France lui a également apporté son soutien.
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