Ce financement de la Banque européenne d’investissement soutiendra les efforts de recherche, de développement et d’innovation de NXP, mis en œuvre dans ses installations en Autriche, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Roumanie, jusqu’en 2026.
L’an dernier, les fabricants de semiconducteurs ont moins investi dans leurs capacités de production qu’en 2023, malgré la forte demande en matière d’IA. En dehors des semiconducteurs, 2024 aura également été marquée par la mise en service de plusieurs usines ou extensions d’usines sur le territoire français, ainsi que par plusieurs projets de construction d’usines.
Le sous-traitant français a investi 350 000 euros pour doter Atems, sa filiale tunisienne, d’une sixième ligne de brasage adaptée à la prise en charge et l’assemblage de cartes électroniques (PCBA) pouvant dépasser les 21 kg.
Avec l’acquisition d’un nouvel équipement d’épitaxie par jets moléculaires à source de gaz (GSMBE), Almae Technologies, spin-off industrielle de III-V Lab (un laboratoire de recherche industrielle commun à Nokia, à Thales et au CEA-Leti), va booster sa capacité de production en composants photoniques.
Texas Instruments pourra bénéficier d’une aide pouvant atteindre 1,6 milliard de dollars dans le cadre du Chips and Science Act, tandis que celle de Samsung pourra culminer à 4,75 Md$.
Recevez notre newsletter par email
