Fruit d’un investissement de 200 millions d’euros, la première usine européenne du géant chinois des télécoms, qui doit théoriquement entrer en service en 2026, pourrait finalement ne pas être exploitée par Huawei.
Le groupe spécialisé dans les solutions de communications d’entreprise compte sur le « Made in Germany » pour accroître la résilience de sa supply chain, réduire les délais de livraison pour ses clients européens et garantir des standards de qualité de haut niveau.
Le connecticien a développé des modules d’interconnexions optiques basés sur des fibres optiques à maintien de polarisation de type Panda, offrant une polarisation stable et de faibles pertes, même dans des conditions difficiles. Les marchés cibles : les télécoms, les communications quantiques et les centres de données.
En proposant ce qu’il considère comme le premier modèle en boîtier compatible avec le soudage par refusion, Littelfuse dépoussière le créneau des interrupteurs tactiles lumineux – qui nécessitent généralement un soudage à la vague – en réduisant la complexité et le coût du processus d’assemblage.
Le nouveau site comprendra un bâtiment de 6000 m², dont 4500 m² seront consacrés au traitement de surface et 1500 m² aux activités tertiaires dont un bureau d’études dédié à la R&D. L’usine, qui sera opérationnelle fin 2028, accueillera une centaine de collaborateurs.
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