L’Allemand Siemens a été préféré au groupe français pour construire les premiers véritables trains à grande vitesse des États-Unis, qui relieront dès 2028, en moins de deux heures, Las Vegas aux abords de Los Angeles.
Les deux géants vont mettre en commun leurs innovations pour améliorer l’efficacité et la durabilité de la production de semiconducteurs dans les scopes 1 à 3 de la chaîne de valeur.
Grâce à cette acquisition, l’Allemand va disposer d’une offre qui permettra aux concepteurs de circuits intégrés de disposer d’un outil de vérification de fiabilité de leurs puces de bout en bout.
Déjà partenaires de Skeleton Technologies, l’Allemand Siemens et le Japonais Marubeni sont parties prenantes de ce tour de table qui permettra au spécialiste du stockage d’énergie à charge rapide d’accélérer le développement de nouveaux produits et de financer l’extension de ses capacités de production en Europe.
Ce partenariat ambitionne de mieux intégrer la conception électronique, le développement de logiciels et l’ingénierie mécanique dans la conception des systèmes embarqués, grâce à des jumeaux numériques plus complets utilisant davantage l’IA et le cloud computing. Les débouchés ciblés concernent le véhicule autonome, la robotique industrielle et la santé.
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