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Une étude identifie les segments à fort potentiel pour le tissu industriel automobile français

Une étude identifie les segments à fort potentiel pour le tissu industriel automobile français

Réalisée par le Cabinet Roland Berger, cette étude très fouillée, commandée par la Plateforme automobile (PFA), répertorie les segments industriels de l’automobile de demain qui présentent le plus d’opportunités de développement pour le tissu industriel français et de localisation en France.

En partenariat avec la Direction générale des entreprises (DGE), la Plateforme automobile (PFA), qui rassemble les acteurs de la filière automobile en France, vient de publier un rapport particulièrement fouillé et intéressant intitulé « Sous-traitance automobile française : opportunités de développement et de localisation en France ».

Confiée au Cabinet Roland Berger, cette étude identifie notamment 30 segments industriels de l’automobile de demain qui présentent le plus d’opportunités de développement pour le tissu industriel français et de localisation sur notre territoire.

PFA – Cabinet Roland Berger

L’étude ambitionne de proposer une vision claire et détaillée de ces segments et d’analyser les facteurs clés de succès et les trajectoires industrielles associées, afin d’accroitre la visibilité des différents acteurs et parties prenantes de la filière, de faciliter l’émergence de projets d’investissements d’ampleur et de soutenir la croissance des sous-traitants de prochaine génération.

Car si la profonde transformation du secteur automobile va se traduire par de réelles opportunités industrielles, celles-ci doivent être saisies à très court terme par les acteurs du secteur afin d’augmenter leurs chances de réussite et de se positionner durablement sur les futures chaines de valeur du véhicule de demain, selon l’étude.

Qui plus est, la création de nombreux emplois et le déclenchement d’investissements industriels d’ampleur sur notre territoire sont en jeu mais pas garantis, selon l’étude, ces segments étant soumis à une forte concurrence internationale (provenant d’Asie, des États-Unis et mais aussi intra-UE) et à des incertitudes quant aux trajectoires technologiques et aux choix industriels collectifs de la filière.

S’appuyant sur une segmentation fine et structurée des 30 activités en croissance identifiées, l’étude a établi une priorisation sur la base de leur potentiel respectif de croissance, mais également de la capacité des acteurs français à être compétitifs – y compris sur un plan environnemental – et des conditions et modalités d’une production sur le sol français dans une logique de souveraineté industrielle.

Parmi les 30 segments répertoriés, l’électronique y est bien représentée avec notamment les onduleurs, les cartes électroniques de puissance, les lidars, l’affichage tête haute, les surfaces interactives ou encore les cartes électroniques logiques.

L’étude du Cabinet Roland Berger prend la forme d’un rapport de synthèse, et de trente fiches détaillées par segment identifié. Un replay du webinaire de présentation de l’étude est également disponible (voir ci-dessous).

 

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