Anticipant des difficultés de recrutement, le Grenoblois part déjà à la recherche de ses 1200 futurs collaborateurs, dont 300 seront recrutés dès cette année. Avec l’objectif de les former pour qu’ils soient opérationnels lors du démarrage en 2025 de sa gigafactory située à Dunkerque.
Ce lancement sera scellé demain par la signature d’un accord réunissant 24 partenaires de la région Nouvelle-Aquitaine afin de développer des formations dans la filière batterie et ainsi répondre à des besoins en compétences importants face à la croissance exponentielle de ce secteur en France.
Implanté dans le Nord de l’Allemagne, ce projet à 4,5 milliards d’euros fournira, à terme, une capacité de production annuelle de 60 GWh pour équiper un million de véhicules électriques chaque année.
Cette joint-venture spécialisée dans les cellules et modules de batteries pour véhicules électriques, vient de réaliser l’une des plus importantes levées de dette jamais réalisées en Europe dans ce domaine, afin de sécuriser la construction de trois gigafactories de plus, dont une unité de production qui viendra compléter celle déjà implantée en région Hauts-de-France.
Spin-off du CNRS créée en 2017, cette start-up basée à Amiens, qui vient de lever 22 millions d’euros, ambitionne de construire en France une gigafactory entièrement dédiée à la production de cellules de batterie sodium-ion.
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