Près de dix ans après la méga fusion-acquisition avec Western Digital, Sandisk retrouve son indépendance en tant que société publique désormais cotée au Nasdaq. Spécialiste des mémoires flash, Sandisk compte profiter des nouvelles opportunités de marchés offertes par l’IA.
Après l’échec du projet de fusion avec Kioxia, l’Américain a décidé de séparer ses activités disques durs et mémoires flash, une option considérée par Western Digital comme la plus à même de créer de la valeur pour la société.
Après des mois de négociations, les deux parties lâchent l’affaire, faute de s’être mis d’accord sur les conditions de la fusion et d’avoir reçu l’approbation de SK Hynix.
Kioxia et Western Digital, son partenaire depuis de plus de 20 ans dans les mémoires flash, ont célébré l’inauguration de l’unité de fabrication Fab7 à l’usine de Yokkaichi, dans la préfecture de Mie, au Japon. L’investissement total dans la phase 1 de la Fab7 devrait être d’environ mille milliards de yens (6,8 milliards de dollars).
Partenaire historique du Japonais Kioxia (alors Toshiba) dans les mémoires flash, l’Américain Western Digital, pressé par l’actionnaire activiste Elliott Investment Management, annonce qu’il va examiner des alternatives stratégiques potentielles visant à optimiser davantage la valeur à long terme pour ses actionnaires. En ligne de mire, l’éclatement en deux sociétés distinctes, l’une dans les mémoires flash, l’autre dans les disques durs.
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